mercredi 30 juin 2010

La sinistre Yade ne veut pas l’assumer


Lundi 14 juin 2010 : Comme d’habitude avec Domenech, les Français ont commencé avec un 0-0, contre l’Uruguay. Surprise, les Japonais battent les Camerounais d’Eto’o et Le Guen. Pendant ce temps, on reproche toujours aux joueurs français de peu communiquer avec leur public et de profiter de leur luxueux hôtel cinq étoiles, comme le leur a reproché Rama Yade.

La sinistre Yade ne veut pas l’assumer

« Lions affaire » des Japonais : ils mettent un pion contre les forts indomptables du Cameroun. Ils ont défendu leur chair de Nippons, donnant des boutons à l’Afrique. On a surpris des Camerounais arrêtés par la fosse… aux lions. Des lions sans phare.
Pas de fête, pas de chasse : Samuel était privé de coquette. Un jardinier : « Eddie ne vaut plus un râteau ». Il aimerait jouer avec un Clichy, Eto’o, partout. Il se dit dans la glaise à cause de son entraîneur : son Paul n’a rien d’une pop-star. « Samuel était l’historique ! », crie Le Guen. Il les prive de ponch : fallait secouer les Nippons pour pouvoir être « ponché » !
Les Nippons s’achètent plus fort, mais pas de trance pour l’Afrique. Nos Bleus casés dans leur case à bœufs détendus trottent sur des carrés sur lesquels ils s’entraînent et se filent. Ces biques n’arrêtent pas de trotter, on les surnomme les trotteurs de l’Afrique. Ils s’en moquent, des larmes des supportrices, ils s’en fichent entre eux. Ils en veulent à une ministre qui souille trop, surnommée Yade « Lajoie ». « Ils coûtent trop, ces footeux ! », a-t-elle dit. Ils rétorquent : « c’est une muse qui soule ! » ; « cette Rama sème les dots ! ». C’est Planus, de tous les bleus, qui préfère la Roseline. N’empêche que Ribéry aimerait montrer sa mite à Rabat.

La solution de Patrick:

La sinistre Yade ne veut pas l’assumer

« Lions affaire » des Japonais : ils mettent un pion contre les forts indomptables du Cameroun. Ils ont défendu leur chair de Nippons, donnant des boutons à l’Afrique. On a surpris des Camerounais arrêtés par la fosse… aux lions. Des lions sans phare.
Pas de fête, pas de chasse : Samuel était privé de coquette. Un jardinier : « Eddie ne vaut plus un râteau ». Il aimerait jouer avec un Clichy, Eto’o, partout. Il se dit dans la glaise à cause de son entraîneur : son /Paul n’a rien d’une pop-star. « Samuel était l’historique ! », crie Le Guen. Il les prive de ponch : fallait secouer les Nippons pour pouvoir être « ponché » !
Les Nippons s’achètent plus fort, mais pas de trance pour l’Afrique. Nos Bleus casés dans leur case à bœufs détendus trottent sur des carrés sur lesquels ils s’entraînent et se filent. Ces biques n’arrêtent pas de trotter, on les surnomme les trotteurs de l’Afrique. Ils s’en moquent, des larmes des supportrices, ils s’en fichent entre eux. Ils en veulent à une ministre qui souille trop, surnommée Yade « Lajoie ». « Ils coûtent trop, ces footeux ! », a-t-elle dit. Ils rétorquent : « c’est une muse qui soule ! » ; « cette Rama sème les dots ! ». C’est Planus, de tous les bleus, qui préfère la Roseline. N’empêche que Ribéry aimerait montrer sa mite à Rabat.

(caricature: www.magixl.com)

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