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jeudi 29 juillet 2010
Mercredi 28 juillet : l’OM remporte le trophée des champions, au terme d’un 0-0 insipide marqué par quelques beaux ratés de Luyindula, puis d’une séance de tirs au but où Mandanda rattrape la Panenka ridicule tentée par Lucho en repoussant les tentatives de deux Parisiens. Thiriez ose se satisfaire du spectacle proposé à Radès, près de Tunis.
Tunis qui paie
PSG-OM à Radès : Thiriez avait envie de Radès pour sa base. Le président Thiriez, il aime tous les sabirs. Une pub un peu tarée propose « du foin pour les champions ! ». Délit du Peggy : il va au but mais ne pèse pas assez. « Faudrait, hein, des dons pour Peggy ! », propose Giuly. A qui on demande : « Oh Ludo, tu t’es fait Cissé ? ». Puis Mandanda se fait porter après les pénos.
Enfin, les Parisiens se consolent avec les multiples faces de Radès.
Tunis qui paie
PSG-OM à Radès : Thiriez avait envie de Radès pour sa base. Le président Thiriez, il aime tous les sabirs. (Le président Tire, yez, il aime tous les sabirs). Une pub un peu tarée propose « du foin pour les champions ! ». Délit du Peggy : il va au but mais ne pèse pas assez. « Faudrait, hein, des dons pour Peggy ! », propose Giuly. A qui on demande : « Oh Ludo, tu t’es fait Cissé ? ». Puis Mandanda se fait porter après les pénos.
Enfin, les Parisiens se consolent avec les multiples faces de Radès.
Les Hollandais rêvaient de petits ponts, de se faire Piqué. Mais finalement, ces vieux peinés, qui adorent Piqué, n’auront pas de coupe à frôler. Il en a de la peine, ce pauvre Robin ! Les Espagnols ? Des joueurs hyper forts qui vont au but. Mais leur gardien Iker était bien moins bon que Van Bommel !
La solution de Patrick :
Van Bommel le Batave s’en va avec les autres cars
Les Hollandais rêvaient de petits ponts, de se faire Piqué. Mais finalement, ces vieux peinés, qui adorent Piqué, n’auront pas de c/oupe à frôler (de c/oupe affrolée). Il en a de la peine, ce pauvre Robin ! Les Espagnols ? Des joueurs hyper forts qui vont au but. Mais leur gardien Iker était bien moins bon que Van Bommel!
Eh les Amish, vous avez aimé les demies ? Il n’y avait pas Ribéry qui pèse et veut aller au but, ni le téléphage Ronaldo qui recherche des zappettes par tout temps, ni Messi alias « la puce »… qui sent l’anis ? Mais il y avait, parmi les Bataves touchant souvent la barre,le hollandais Robin* à la peine, un peu trop raide.
*Robin Van Persie. Prononcez : Robine.
La solution de Patrick:
« Mon gros pain attendait les demies ! »
(dixit mon boulanger)
Eh les Amish, vous avez aimé les demies ? Il n’y avait pas Ribéry qui pèse et veut aller au but, ni le téléphage Ronaldo qui recherche des zappettes par tout temps, ni Messi alias « la puce »… qui sent l’anis ? Mais il y avait, parmi les Bataves touchant souvent la barre,le hollandais Robin* à la peine, un peu trop raide.
Samedi 3 juillet 2010 : l’Argentine de Maradona se fait broyer par un collectif allemand bien huilé. L’addition est corsée : 4-0 ! Alors que les observateurs s’employaient à analyser les raisons de la supériorité sud-américaine (4 qualifiés en quarts de finale), il n’y aura plus que l’Uruguay en demi-finale.
L’âne, la puce et les Schleus
Maradona : ce Boon argentin va se faire clouter. Pour se calmer, il lui faut plus de robes et de Tevez. « Il ont troué notre union, ils nous ont bien saucés ». Higuain ? « Ce Gonzalo est un sot ». Messi en pleurs : on voit sa tête de loup pleine de charmes. Celui qu’on surnomme « la puce » n’a pas montré de jolies fêtes. Maradona et Messi, c’est : « l’âne et la puce ». Ou encore : « la puce et le nabot ».
Les Argentins épaissis n’ont pas fait voir de belles mines.
La solution de Patrick :
L’âne, la puce et les Schleus*
Maradona : ce Boon argentin va se faire clouter. Pour se calmer, il lui faut plus de robes et de Tevez. « Il ont troué notre union, ils nous ont bien saucés ». Higuain ? « Ce Gonzalo est un sot ». Messi en pleurs : on voit sa tête de loup pleine de charmes. Celui qu’on surnomme « la puce » n’a pas montré de jolies fêtes. Maradona et Messi, c’est : « l’âne et la puce ». Ou encore : « la puce et le nabot ».
Les Argentins épaissis n’ont pas fait voir de belles mines.
Vendredi 2 juillet 2010. Le premier quart de finale a rendu son verdict : les Pays-Bas éliminent le Brésil 2-1. Robben confirme qu’il est bien plus galactique que Kakà, dont le nom n’a même pas besoin de contrepèteries pour faire rire. Adieu, petit Kakà, décidément bien trop mou…
Tant pis pour le dernier carré : les Brésiliens sont dans l’étau
Spécialité brésilienne : le pain noir à la batave. Quelques euros et c’est dans la fête. Encore Robben, le batave a souri, encore les Bataves, qui font plus qu’Henry. Ces Bataves ont plein de rage, hein !
Mais au Brésil, pays plein de huttes, on prie beaucoup. Ils se tournent vers leur Dieu pour oublier les rapaces de Hollande. Les cathos sont déjà dans les rues.
Et si Ribéry, que des racistes (dont les rangs s’élargissent, alors qu’ils sont éculés) traitent de faux Zico, allait voir Bahia ? Il part pour Lima avec Ramé, puis il revient, des Andes, car il est trop loin de Bahia.
La solution de Patrick :
Tant pis pour le dernier carré : les Brésiliens sont dans l’étau*
Spécialité brésilienne : le /pain noir à la batave. Quelques euros et c’est dans la fête. Encore Robben, le Batave a souri, encore les Bataves, qui font plus qu’Henry. Ces Bataves ont plein de rage, hein !
Mais au Brésil, pays plein de /huttes, on prie beaucoup. Ils se tournent vers leur Dieu pour oublier les rapaces de Hollande. Les cathos sont déjà dans les rues.
Et si Ribéry, que des racistes (dont les rangs s’élargissent, alors qu’ils sont éculés) traitent de faux Zico, allait voir Bahia ? Il part pour Lima avec Ramé, puis il revient, des Andes, car il est trop loin de Bahia.
Mercredi 30 juin 2010 : Les huitièmes de finale sont terminés. Bilan : L’Allemagne sort l’Angleterre et l’Argentine le Mexique sur fond de polémiques à propos de l’arbitrage et de la vidéo. Entre autres, les Japonais et les Portugais quittent la compétition, mais pas le Brésil ni les Pays-Bas, favoris avec l’Espagne. Peu après, de retour en France, Escalettes présente sa démission.
Les caméras qui collent
Grands fans de potins de curés, les Uruguayens en Corée ne perdent pas le nul.
Bye-bye England : les Anglais, quoique bien branchés, voulaient se faire des bols. Mais on a vu des bols pleins de mouches. Un certain Perry se consolera avec des types. Il dit à Wayne Bridge : « Oh ! là, qu’as-tu ? C’est ta femme, mon coquin ? ». A Munich, fan de NBA, Franz n’a d’yeux que pour son Kobe (prononcez : Kobi).
Les Mexs sont saouls, piqués par ce nabot de Maradona. A qui pense-t-il, lors de cette déclaration fêlée : « Ah, ce rite Mexicain ! » ?
On interroge Blatter, à propos de leurs caméras. « Ma caméra ? Elle a trouvé la taupe, pour oublier les bides des Français ».
Robben, le Batave a souri, marque encore. On a vu un gros zoom sur un maillot de Robben. Sacrés Bataves, ils font plus qu’Henry !
Même avec un seul pied, Kaka fait voir de jolis coups. Avec un certain Basile, y a toujours de la braise. Pourtant, quel contraste, ce kaki.
Le Paraguay s’accommode de la chaleur des Nippons. Fini le show pour les Nippons. Ils rêvaient de coca paraguayen et sushis, ils rêvaient de bonnes pâtes et sushis. Ils vont se faire scier avec leurs sushis. Des Paraguayens, devant l’écran, en forme de mi-globe, dégustent des sakés crus avec leurs hôtes en regardant les pubs.
Hommage poétique des Espagnols aux Portugais :
« Ô Portugais qui avez jouté au vent,
Et toi, beau Cristiano, pétale solidaire,
Glacez jusqu’au Mans
Nos berges d’hiver ».
La moutarde monte au nez des Portugais : ils trouvent l’Amora bien rudasse. Les bonnes portugaises regretteront les courses de Ronaldo. Lui se consolera avec Deco et l’union sacrée. Et avec de la morue plein la nasse.
Sinon, Escalettes démissionne. Il part avec l’étole de tous les grands bleus sur le dos.
La solution de Patrick:
Les caméras qui /collent
Grands fans de potins de curés, les Uruguayens en Corée ne perdent pas le nul.
Bye-bye England : les Anglais, quoique bien branchés, voulaient se faire des bols. Mais on a vu des bols pleins de mouches. Un certain Perry se consolera avec des types. Il dit à Wayne Bridge : « Oh ! là, qu’as-tu ? C’est ta femme, mon coquin ? ». A Munich, fan de NBA, Franz n’a d’yeux que pour son Kobe (prononcez : Kobi).
Les Mexs sont saouls, piqués par ce nabot* de Maradona. A qui pense-t-il, lors de cette déclaration fêlée : « Ah, ce rite Mexicain ! » ?
On interroge Blatter, à propos de leurs caméras/. « /Ma caméra ? Elle a trouvé la taupe, pour oublier les bides des Français ».
Robben, le Batave a souri, marque encore. On a vu un gros zoom sur un maillot de Robben. Sacrés Bataves, ils font plus qu’Henry !
Même avec un seul pied, Kaka fait voir de jolis coups/. Avec un certain B/asile, y a toujours de la braise. Pourtant, quel contraste, ce kaki.
Le Paraguay s’accommode de la chaleur des Nippons. Fini le show pour les Nippons. Ils rêvaient de coca paraguayen et sushis, ils rêvaient de bonnes pâtes et sushis. Ils vont se faire scier avec leurs sushis. Des Paraguayens, devant l’écran, en forme de mi-globe, dégustent des sak/és crus avec leurs hôtes en regardant les pubs.
Hommage poétique des Espagnols aux Portugais :
« Ô Portugais qui avez jouté au vent,
Et toi, beau Cristiano, pétale solidaire,
Glacez jusqu’au Mans
Nos berges d’hiver ».
La moutarde monte au nez des Portugais : ils trouvent l’Amora bien rudasse. Les bonnes portugaises regretteront les courses de Ronaldo. Lui se consolera avec Deco et l’union sacrée. Et avec de la morue plein la nasse.
Sinon, Escalettes démissionne. Il part avec l’étole de tous les grands bleus sur le dos.
